Le châtiment est une chose, la punition en est une autre.
Quand la législation scolaire a proscrit la punition corporelle (le châtiment corporel), elle a bien fait là où ça faisait mal, mais elle n'a pas donné le "remède" de remplacement à un point tel, que l'apprenant prit le dessus sur son formateur (rébellion sur les devoirs et les exercices, chahut sans crainte, ....) les conséquences ne se comptent plus et l'impact direct sur le rendement scolaire s'avère monumental.
Je le dis haut et fort: où est la crainte de l'apprenant, cette composante psychologique nécessaire à une passerelle indispensable entre l'apprentissage et les savoirs?
Le maillon manquant dans la législation scolaire qui ferait la différence entre le sérieux et l'anarchie, la discipline et la turbulence, ne se bâtit pas d'un clin de raisonnement furtif orchestré par des circonstances précipitées.
Moi, je punis.